Ma philosophie professionnelle 

Comment s’est développée ma philosophie professionnelle ?

Grâce aux quelques expériences professionnelles que j’ai pu avoir jusqu’ici, que ce soit par le biais de stages en entreprises dans le cadre de mes études ou grâce à des jobs d’été, j’ai pu définir qu’elle était ma philosophie professionnelle.

Lorsqu’on est jeune et que l’on a pas encore une formation solide, il est bien rare de trouver des jobs d’été très passionnants et qui correspondent à nos aspirations. C’est ainsi qu’à 16 ans, pour découvrir le monde du travail et me faire un peu d’argent, j’ai fait des travaux de peinture dans ma commune, puis les années suivantes, j’ai pu décrocher quelques petits contrats pour faire les vendanges, puis du palissage, ou encore faire du service en salle dans un restaurant. Ce sont plutôt des travaux physiques pour lesquels je n’ai pas trouvé un grand intérêt, mais que j’ai eu à cœur de faire de mon mieux pour donner satisfaction à mes employeurs car j’ai cette volonté et ce besoin de réussir les missions qui me sont confiées. Mais j’ai aussi pris conscience que je ne voudrais pas faire ce genre de travail toute ma vie du fait du caractère physique, de l’aspect répétitif et de ce fait, du manque d’intérêt. Ainsi, petit à petit, j’ai compris que ce qui était important pour moi, c’était avant tout de prendre du plaisir dans mon travail et également que celui-ci soit apprécié.

Ce plaisir dans le travail n’est pas lié qu’aux tâches en elles-mêmes qui doivent pour moi être variées afin de ne pas devenir monotones, mais il est également influencé par l’environnement professionnel dans lequel on évolue. Bien s’entendre avec ses collègues est donc aussi essentiel, tout comme savoir travailler ensemble, car cela permet de mettre en commun ses compétences pour faire avancer un projet ou une tâche, et en même temps d’apprendre et progresser par le biais des autres membres de l’équipe. J’apprécie donc aussi le fait de travailler en groupe. Lors d’un de mes stages, j’ai trouvé cette citation d’Henri Ford affichée dans une salle de réunion, et je trouve qu’elle résume bien ma façon de voir les choses :